COMMENT LA PHOTO DEVIENT UN ART PICTURALE

 

Que nous présente JJES. FRAENKEL, cet artiste non conformiste qui ose rompre avec la photographie conventionnelle pour nous révéler la force cachée et souvent la violence des contrastes, des couleurs et les formes que la nature dissimule sous une apparente sereine harmonie. 
Certaines de ses oeuvres sont très influencées par les peintures de son oncle par alliance, le Tachiste LEON ZAK.

 

Ses photos bougent vivent, 
Les forets s’animent elles sont mystérieuses profondes,
Les arbres tourmentés par d’étranges maestroms ceux des contes de fées de notre enfance, 
Les oiseaux en apesanteur brassent l’invisible pour traverser l‘espace, 
L’eau figée un instant dans sa trajectoire arrète son cour, 
Les fleurs valsent tourbillonnent mariant leurs formes et leurs teintes, 
Que dire des autres photos, surprenantes compositions abstraites et pourtant bien réelles de formes en mouvements aux couleurs contrastées.

 

JJES nous surprend, et nous montre une nature, source de son inspiration que nous ne voyons pas, dynamique, insolite mais néanmoins harmonieuse.

 

De la lumière qui s’offre le luxe de changer les couleurs suivant ses humeurs, JJES obtient ses tons pastels.

 

La technique utilisée dite (TWINS-MOVING-PICTURES) par JJES pour réaliser ces clichés est sans aucune manipulation informatique, c’est ainsi qu’il lui est totalement  impossible de réaliser deux fois à l’identique chacune de ces photos.

 

JJES est né en France à Paris au siècle dernier, il fit ses premières photos dès l’age de 6 ans à l’aide d’un boitier Kodac 6X9, 
Adulte il pratiqua les métiers les plus divers et les plus invraissemblables, puis il commença à parcourir et à découvrir une grande partie du monde, exalté de rencontrer et de connaitre d’autres peuples, d’autres cultures mais aussi d’autres horizons, d’autres natures, d’autres couleurs qu’il capte avec ce qu’il appelle son oeil de cyclope.

 

La beauté de notre monde et notamment celle de ses forets, exacerbe la sensibilité de JJES, 
Il a coutume de dire: 
"dans la foret je suis arbre, dans les déserts je suis sable, dans les montagnes, je suis rocher, dans la mer je suis eau, dans la nature je suis chez moi, à l‘abri."

 

Ainsi l’on peut supposer que “dame nature“ en reconnaissance de l’amour que JJES lui porte, lui revèle ses aspects cachés. 
C’est ce qu’il veut nous faire partager, souhaitons qu’il y réussisse.

 

JJES FRAENKEL expose actuellement dans son atelier à Victoria.

 

 


Retour - Back